Les plateformes de streaming gagnent du terrain en République dominicaine

Pendant la pandémie, la consommation de médias a changé radicalement. Toutefois, grâce à la grande diversité des options lorsqu’il s’agit de choisir ce que l’on regarde sur différentes plateformes, les préférences ont évolué.

Nielsen reconnaît cette réalité en identifiant que, bien que l’écoute de la télévision ait considérablement augmenté dans le pays ces derniers mois, avec une moyenne de 4 heures et 48 minutes par jour, la tendance actuelle de consommation se développe autour des nouvelles plateformes de streaming.

C’est ce que démontre l’analyse de Nielsen sur la part par type de signal, qui couvre les mois de janvier à juin 2021 et montre que 45 % des consommateurs de la République dominicaine consomment des chaînes de télévision nationales en clair, 9 % des chaînes régionales, tandis que 46 % préfèrent les plateformes de streaming et de télévision payante. Par conséquent, ils perçoivent une consommation plus importante des autres plateformes par rapport aux années précédentes, où elle ne représentait que 41% (2020).

La révolution numérique de ces dernières années a entraîné un scénario complexe, dans lequel les avancées dans le développement de nouvelles alternatives pour la consommation de contenus se sont traduites par de nouveaux défis, en particulier pour les entreprises qui mesurent les plateformes disponibles et pour les professionnels du marketing et de la publicité. En effet, les entreprises de ce secteur doivent comprendre la fragmentation des publics afin d’atteindre un public réparti entre les différents écrans disponibles.

La préférence des publics pour les plateformes numériques est bien connue des spécialistes du marketing et de la publicité du pays, puisque le rapport Nielsen révèle que les investissements dans les médias traditionnels ont connu une baisse de placement de -9,5 % et d’investissement de -14 %, ce qui se traduit par une perte d’environ 165 787 257 RD$ entre janvier et juin 2021.

Dans ce contexte, les investissements dans les médias traditionnels ont connu la plus forte baisse au cours des cinq dernières années, un phénomène qui a touché toute l’Amérique latine, où les investissements sont de plus en plus orientés vers l’environnement numérique. Un phénomène que connaît également la République dominicaine, où la publicité dans les médias traditionnels, comme la télévision et la radio, a diminué de 100 millions de dollars entre 2016 et 2020, tandis que dans les médias numériques, entre 2017 et 2020, elle a augmenté d’un peu plus de 100 millions de dollars.

Ces chiffres indiquent que cette réalité n’a pas seulement entraîné un changement dans la façon dont les ressources sont utilisées, mais qu’elle a également créé un nouvel état d’esprit dans la façon dont les entreprises considèrent les médias numériques.

Nielsen comprend que le changement de comportement de l’audience est déjà là, c’est pourquoi elle s’efforce de comprendre la fragmentation et la granularité des audiences traditionnelles et numériques, l’impact de la publicité et la façon dont les chiffres se transforment en histoires grâce à une mesure précise, avec une rigueur et une exactitude diligentes.

C’est pourquoi Nielsen recommande au secteur de briser les paradigmes et de prendre part à l’évolution en comprenant comment fonctionne la fragmentation de l’audience, afin de pouvoir concentrer judicieusement leurs efforts et leurs ressources sur la promotion, ce qui leur donne l’assurance d’un retour sur investissement positif.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

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