La croissance du tourisme et de l’économie de la RD soulignée au Forum Davos 2023

L’avenir semble incertain au niveau mondial, mais les mesures et les stratégies des gouvernements et des dirigeants politiques mondiaux restent intéressantes pour inverser cette négativité.

La vice-présidente de la République, Raquel Peña, a démontré au monde les réalisations du gouvernement dominicain en matière d’économie et de tourisme, obtenues au milieu du fléau des multiples crises qui frappent l’humanité depuis fin 2019.

Et il l’a fait lors de la réunion annuelle du Forum économique mondial qui s’est achevée vendredi dernier à Davos, en Suisse, où étaient présents plus de 50 chefs d’État et de gouvernement, les principaux dirigeants des Nations unies, du FMI, de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et des chefs d’entreprise du monde entier.

Participant au panel sur le « Leadership pour l’Amérique latine », M. Peña a souligné la manière dont le président Luis Abinader a fait de la République dominicaine un exemple mondial à suivre.

La République dominicaine, classée par les organisations internationales comme la septième économie d’Amérique latine, a été l’un des premiers pays à relancer l’industrie du tourisme et à stabiliser son économie après la pandémie, atteignant un taux de croissance de 5,5 % en 2022.

La vice-présidente a expliqué dans son discours qu’une partie de la stratégie appliquée par le gouvernement face à la crise de l’année dernière consistait à aider les entrepreneurs à créer de nouvelles entreprises, à améliorer les compétences de la population pour renforcer la croissance économique, et à la rendre plus compétitive pour accéder à de nouveaux marchés.

Surmonter les graves problèmes économiques locaux en un temps record est le signe d’une administration publique responsable et bien gérée.

L’humanité survit à une terrible crise économique, à la dégradation de l’environnement, aux pénuries d’énergie, au chômage mondial, à un changement climatique sévère et à la pandémie de SRAS-CoV-2 (Covid) avec ses mutations constantes.

Il est temps de mettre en œuvre des solutions à court et moyen terme pour éviter que la cocotte-minute sociale n’explose et ne se répande dans toute l’humanité, déstabilisant les gouvernements et faisant tomber les entreprises et les institutions commerciales.

La pandémie et la guerre russo-ukrainienne continuent d’affecter les marchés mondiaux de l’énergie, de l’alimentation et de la chaîne d’approvisionnement.

Les cinq risques mondiaux les plus importants qui pourraient apparaître au cours des deux prochaines années et affecter l’économie mondiale sont, selon les experts : les crises liées au coût de la vie, les catastrophes naturelles, les affrontements géopolitiques, l’incapacité à atténuer le changement climatique, ainsi que l’érosion de la cohésion sociale et la polarisation.

Pour les dirigeants mondiaux, le paysage des risques à court terme est dominé par l’énergie, l’alimentation, la dette et les catastrophes naturelles dues au changement climatique.

Au « Forum de Davos », ils ont identifié les industries du ciment et du béton, du fer et de l’acier, du pétrole et du gaz, des produits chimiques et des mines de charbon comme responsables de 80 % des émissions industrielles. Ils ont également soulevé des inquiétudes concernant la cybersécurité.

Le travail à distance, dans le sillage de la pandémie de Covid-19, a multiplié les cyberattaques par des pirates informatiques, plaçant cette question en tête des préoccupations des organisations et des nations.

L’avenir semble incertain au niveau mondial, mais les mesures et les stratégies des gouvernements et des dirigeants politiques mondiaux sont toujours intéressés à inverser cette négativité en misant sur l’augmentation des investissements en capital, la production agricole, la décarbonisation des industries pour atténuer l’impact négatif du changement climatique et augmenter l’emploi.

Les dirigeants mondiaux et leurs gouvernements respectifs, qui sont chargés de guider la planète vers un destin meilleur, savent ce qu’il faut faire pour empêcher ces mauvais présages de se dissiper pour le bien de l’humanité.

Au milieu de ce panorama, la Banque mondiale a prédit que la République dominicaine maintiendra une croissance économique solide de près de 5 % pour 2023 et 2024, en raison de l’intérêt que le gouvernement Abinader a porté aux investissements en capital.

Et l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a déclaré que la nation caribéenne est l’une des deux en Amérique latine qui ont amélioré de manière significative la nutrition de leurs populations.

Recevoir plus de huit millions de touristes en 2022 au milieu de multiples crises mondiales est un triomphe incontestable pour le gouvernement dominicain.

En matière de réalisations économiques et touristiques, la République dominicaine est l’exemple à suivre.

Les résultats et les chiffres parlent d’eux-mêmes ; les dirigeants politiques et les chefs d’entreprise qui ont participé au Forum économique mondial en sont conscients, tout comme les dirigeants des partis d’opposition en République dominicaine.

Source: Acento.com.do

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