La nouvelle Nissan Murano
Devenu un succès mondial alors qu’il n’était prévu à l’origine que pour le marché américain, le pionnier des crossovers se renouvelle complètement. Au menu, nouveau look, intérieur plus raffiné et toujours pas de Diesel. Du moins pour l’instant…
Révolution de velours
En dépit des apparences, le Murano dévoilé dans la Cité des Anges n’est pas un restylage, mais bien un véhicule 100 % nouveau. Toute la difficulté a été de faire un Murano innovant, sans perdre le caractère de l’original
, avoue ainsi Carlos Ghosn.
Résultat : un crossover séduisant, au dynamisme accentué par un avant plus design
, évoquant un peu le museau de la très high tech Honda Civic. Justement, côté technologie, le Murano n’est pas en reste, avec le démarrage sans clé, un disque dur de 9,3 Go, la caméra de recul, une transmission intégrale intelligente et une boîte à transmission variable CVT encore plus douce. Sous le capot, en revanche, toujours pas de Diesel… du moins pour l’instant : confiance a été renouvelée au V6 3.5 qui affiche désormais 265 ch.
Un intérieur plus raffiné
Le Murano fait aussi des progrès en matière de design intérieur. Nissan a conçu un habitacle plus raffiné (baguettes en aluminium, cuir), offrant un espace supérieur et davantage de fonctionnalités.
Notons ainsi la présence d’un double toit ouvrant, d’une climatisation plus performante, d’un éclairage d’ambiance et surtout de sièges électriques à mémoire à l’arrière. Autant d’arguments qui devraient confirmer le succès acquis par la première génération de Murano, et ceci même en dehors des frontières américaines.
